French Olga (Arlette Ginette)

French Olga, plus populairement connue sous le simple nom d’« Olga » est une ancienne star de l’industrie pornographique française du tournant des années 1990. Elle était reconnue pour ses rôles dans des productions « femmes mûres » et « porno terroir ». Souvent mise en scène dans des décors ruraux et campagnards, ses apparitions ont marqué l’imaginaire d’une certaine niche du cinéma X hexagonal. Cela grâce à son physique généreux, et à son jeu naturel ; proche d’une atmosphère amateur.

French Olga est un le fantasme de l’homme commun

French Olga fait ses débuts dans Les Nymphomanes (1980), une réalisation de Claude Bernard-Aubert. Très tôt, elle est remarquée pour sa poitrine volumineuse et son charisme à l’écran. À partir de cette période, elle collabore régulièrement avec des productions amateurs et des séries « femmes matures ». Elle travaille notamment pour la société Concorde, un distributeur reconnu pour ses fils X autour de thèmes ruraux. On lui doit des titres à l’intitulé évocateur comme Les paysans et leur salope de fille. Son physique atypique pour l’époque lui confère une image de « femme fatale du terroir », souvent mise en scène dans des contextes champêtres et cochons.

Elle a séduit la France profonde

Les productions dans lesquelles French Olga apparaît se caractérisent par des décors campagnards (fermes, granges, maisons de campagne), accentuant une ambiance « terroir ». La maturité et les formes généreuses sont mises en avant, ce qui répond à une demande spécifique du public à cette période. (Cherchant une alternative aux canons « jeunesse » de l’époque). Les tournages d’Olga ont aussi une tonalité semi-amateur, sans la sophistication des grosses productions urbaines. Ce style a contribué à la popularité de French Olga, car ses scènes reflètent une proximité et une chaleur humaine qui manquaient parfois aux films industriels.

French Olga: « La Magnifique »

Dite « La Magnifique », French Olga est une actrice à la silhouette ronde et pulpeuse. Cette corpulence généreuse est devenue sa marque de fabrique: portant un majestueux 115E. Même si Olga n’a pas atteint la notoriété des têtes d’affiche du porno grand public de son époque (Olinka Hardiman, Sylvia Saint..), elle a laissé une empreinte durable dans le sous-genre « porno terroir ». Un genre typiquement hexagonal. La « femme rurale pulpeuse », qui a su séduire un public en quête d’authenticité. Elle a arrêté en 2008, et son héritage se ressent chez des actrices contemporaines comme Célia French.